Elles en parlent: leur défi en communication digitale

Que tu sois freelance ou que tu gères la communication d’une PME, on sait toutes que la communication digitale, c’est parfois un casse-tête.

Mais rien de tel que de partager notre défi en communication digitale, pour inspirer des pistes et des solutions applicables.

Alors, pour ce premier billet collectif, j’ai proposé à ma communauté de se joindre à moi. Et devine quoi? Quatre femmes incroyables ont répondu présentes, prêtes à te dévoiler en toute transparence les questionnements qui les occupent.

Je te laisse découvrir leurs récits inspirants. Tu verras, à la fin de chaque récit, un input de ma part.

Bonne lecture et merci à Valentine, Daniela, Salomé et Céline d’avoir partagé votre défi du moment.

Virginie

Actuellement, mon plus grand défi en communication digitale est de mettre en place un freebie ainsi qu’une newsletter intéressante pour mon audience, qui souhaite se démarquer grâce à une identité visuelle à son image.

Cela fait déjà quelques mois que j’y pense et je ne trouve pas le temps de m’y consacrer. Du coup, je suis frustrée, avec des pics de motivation et d’idées parfois. Le temps me manque donc, pour l’instant, je n’en fais pas une priorité, mais j’ai bon espoir qu’avant 2025, je puisse mettre tout cela en place.

D’ici là, mon but est de fixer des objectifs clairs et réalisables afin de pouvoir lancer la machine. Je suis certaine que ce format peut plaire si le contenu a de la valeur! Il ne me reste plus qu’à faire un bon brainstorming d’idées et me retrousser les manches!

Mon plus grand défi en communication digitale est de trouver du contenu intéressant et captivant pour TOUS mes réseaux. Avec 2 comptes LinkedIn, 2 comptes Instagram et 2 comptes Facebook, ainsi que les newsletters et what’s app, il en faut du contenu!

Heureusement, avec le temps et quelques formations, j’ai appris à créer du contenu spécifique pour chaque réseau, ce qui me facilite grandement la tâche. Un calendrier éditorial est d’ailleurs d’une très grande utilité!

Heureusement, je suis une personne avec beaucoup de persévérance et ne me laisse jamais abattre. Par exemple, la baisse de visibilité sur Instagram aurait pu m’affecter. Je continue et ne lâche rien! Bien sûr, j’analyse ce qui plait vraiment à ma communauté et je continue dans ce sens.

Pour l’instant, je peux me permettre de créer du contenu moi-même, mais peut-être que, dans un futur, je devrais déléguer cette tâche à un·e professionnel·le ou réduire le contenu. Ma charge de travail augmentera et ce ne sera plus ma priorité (eh oui, les toutous ne s’occupent pas tout seuls!).

Mes ressources, je les trouve sur les réseaux également ou dans des livres (j’adore lire !). Sinon je suis une personne créative; il m’arrive d’avoir tout d’un coup une idée (voir plusieurs), que je note tout de suite! Ma motivation, c’est le retour des personnes qui aiment mon contenu et qui le montrent! Ça fait plaisir d’avoir des retours positifs lorsqu’on s’est donné tant de peine.

Pour terminer, je dirais qu’il faut vraiment avoir du plaisir à créer du contenu. Si cela devient une tâche lourde et pénible, il faut soit suivre une formation pour trouver la motivation et l’envie de le faire ou, en dernier recours, déléguer à un·e pro!

Je vous dis TU ou je te dis VOUS?

L’histoire débute avec une « dose de panache » de Virginie, reçue dans ma boîte mail, il y a peu. Je suis abonnée à cette newsletter car je m’occupe, entre autres, de la communication de notre entreprise de paysagisme fondée avec mon mari il y a bientôt 10 ans. Lorsque je lis « quel est votre défi actuel ? » dans ce message, je pense tout de suite à notre communication sur les réseaux, sur nos supports, notre site internet etc.

Il y a 1000 défis à relever dans la communication, que ce soit au niveau du type de contenu, de notre cible, de notre constance, de l’inspiration, etc. Pour ma part, mon défi actuel est de trouver le bon « ton », la bonne façon de s’adresser à notre public, et l’utilisation de l’humour à bon escient. Ni trop, ni trop peu. Voici le genre de questions que nous nous posons à ce sujet:

1. Concernant le type de contenu, à quel moment est-ce que nous nous autorisons à publier certains posts plus légers? Y a-t ’il des périodes propices? Nous avons fait le choix de garder un ton professionnel dans nos posts, et d’aborder nos sujets avec un ton plus léger dans nos stories, car celles-ci sont temporelles.
2. Quelle est notre cible? Comment devons-nous lui parler? Le choix du « tu » ou du « vous » n’est pas simple. Notre clientèle nous contacte afin que nous puissions les aider à créer le jardin de leur rêve. Nous devons donc être proches de notre clientèle, sans être trop intrusifs. Professionnels, mais sympathiques. Cohérents, mais également créatifs. Nous avons opté pour le « vous ».
3. Nos interventions ne peuvent pas être constamment drôles. Il faut que nos potentiels clients nous prennent aussi au sérieux. Il faut donc jouer aux équilibristes en leur donnant le sourire afin de les divertir tout en leur transmettant du contenu pertinent.
4. L’inspiration nous vient quant à elle en réalisant nos projets, en nous baladant dans la nature mais aussi en écoutant les désirs de nos clients. Une autre source d’inspiration à ne pas négliger est le compte de Virginie, qui contient une tonne de conseils, des infos, et des pépites en matière de communication, je ne peux que vous conseiller de la suivre à travers ses différents supports!

Bref, que de défis à relever mais ô combien passionnants! Je remercie Virginie de m’avoir permis de m’exprimer à ce sujet à travers son billet collaboratif.

La plupart des personnes que j’accompagne viennent me voir grâce au bouche-à-oreille. J’ai plusieurs comptes sur les réseaux sociaux, que je n’alimente que très rarement. Mais les réseaux sont devenus incontournables pour transmettre un message au plus grand nombre. Alors j’ai décidé de m’y mettre.

MAIS comment ça marche Instagram? Et les algorithmes? Le SEO? Et ces « règles à suivre » si on veut que notre communication soit efficace (régularité, esthétique), etc. Virginie m’a aidée à y voir plus clair et à m’en sortir dans cette jungle.

MAIS ensuite a débarqué la peur d’être confrontée à la malveillance et la violence qui circulent sur les réseaux. Ai-je vraiment besoin de cela? Bon, il paraît que c’est seulement à partir d’un certain seuil de célébrité que l’on attire les trolls et autres tristes sires. Que c’est donc bon signe, et que « ça se gère », finalement.

Ma motivation est reboostée. J’ai du contenu, des idées, l’envie et le courage… MAIS il me manque encore le temps. Bon, il paraît que je peux « batcher », prévoir des plages de temps pour préparer mon contenu mensuel.

MAIS je me rends vite compte que ce temps-là, je préfère le passer avec mes client·e·s ou à continuer à me former, ou à avoir du temps libre. Tout simplement.

Je peux déléguer la gestion de mes réseaux, MAIS c’est un budget. Un investissement aussi. Pour gagner du temps, pour avoir le temps, pour prendre le temps. Alors je me tâte…encore.